Le gouvernement Philippe, une «petite coalition»

À un mois des législatives, l'arc politique du gouvernement Philippe, premier de l'ère Macron, reste étroit. Parcours, société civile, parité, diversité : le « renouvellement » promis est en demi-teinte.

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À quinze heures pile, le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, se présente sur le perron de l’Élysée. Il annonce la composition du premier gouvernement du quinquennat Macron, celui qui devra mener la bataille des législatives. Dix-huit ministres, quatre secrétaires d’État. Tout de suite, des noms qui claquent, les bonnes prises qui vont faire parler : le célèbre Nicolas Hulot, ministre d’État, nommé ministre « de la transition écologique et solidaire », bombardé numéro trois du gouvernement. Françoise Nyssen, la fondatrice des éditions Actes Sud, entrepreneure du livre nommée ministre de la culture ; l’escrimeuse Laura Flessel, quintuple médaillée olympique, aux Sports.

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