Il a suffi d’une phrase, en apparence inoffensive, pour relancer un conflit d’une violence sans pareille dans le secteur de la santé. « Le 4e plan Autisme sera celui de l’apaisement et du rassemblement […] sans préjugés et sans volonté d’imposer une solution plutôt qu’une autre », déclarait François Hollande, le 19 mai, devant le Conseil national du handicap (CNH). Après une série de défaites humiliantes, la psychiatrie a repris, un peu, espoir. Au contraire, les principales associations de parents, qui tentent depuis des années d’imposer les méthodes comportementales à des professionnels majoritairement récalcitrants, ont accusé le coup.
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