D’un côté, un homme de cinquante ans, en grève de la faim du 6 au 29 mars. De l’autre, une banque qui se dit « très attentive, et préoccupée par la situation, d’ailleurs suivie personnellement par notre directeur général ». Entre les deux, un cas de surendettement finalement assez banal, et qui n’a paradoxalement rien d’inextricable. Pourtant, la situation est pour le moment bloquée.
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