Un total de 3 579 perquisitions administratives menées en sept mois, pour 557 infractions constatées, 420 interpellations et, au bout du compte, 67 peines prononcées dont seulement cinq pour des actes de terrorisme. Voilà, en quelques chiffres, le bilan de l’état d’urgence que les députés ont prolongé, jeudi 19 mai, pour une nouvelle période de deux mois à compter du 26 mai.
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