Loi immigration : la course aux droites extrêmes

Les associations s’indignent du risque de paupérisation des étrangers

Plusieurs associations de solidarité craignent que la conditionnalité des prestations sociales introduite dans la loi immigration votée le 19 décembre empêche des familles de se loger et de se nourrir.

Faïza Zerouala

De bon matin, au lendemain de l’adoption de la loi « immigration » dans la nuit du mardi 19 au mercredi 20 décembre 2023, la première ministre a été interrogée sur France Inter sur le fait que des parents en situation régulière devront attendre deux ans et demi avant de toucher les allocations familiales. « Je ne vais pas rentrer dans les détails », a balayé Élisabeth Borne.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter