Les avocats des prévenus de l’affaire Bygmalion ont dévoilé leurs batteries et engagé les hostilités ce vendredi, au tribunal de Paris. Nicolas Sarkozy, lui, n’est toujours pas présent.
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On ne risque pas de s’ennuyer au procès Bygmalion. Là où il arrive souvent, dans les dossiers politiques, qu’on assiste à un concours de langue de bois et à une répartition des rôles prédéterminée dans une défense groupée, rien de tel avec le scandale de la campagne présidentielle 2012 de Nicolas Sarkozy. Après deux journées d’audience uniquement consacrées à des incidents de procédure, jeudi et vendredi, des lignes de fracture et des haines recuites sont déjà visibles du côté des prévenus. Nicolas Sarkozy, lui, n’a pas daigné se présenter et compte apparemment se rendre au tribunal uniquement le jour de son interrogatoire. C’est le seul prévenu à sécher son procès.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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