Libertés publiques

Le maire de Roanne s’acharne contre une colleuse d’affiches féministes

Yves Nicolin veut faire payer à une militante trois collages, réalisés dans sa commune, dénonçant les féminicides. Après avoir échoué à la poursuivre au pénal, il vient d’être débouté par le juge administratif dans une décision ambiguë, qui ne reconnaît pas la liberté d’expression. L’édile va faire appel.

Jérôme Hourdeaux

La justice a une nouvelle fois désavoué le maire de Roanne, dans sa croisade contre des militantes féministes à qui il s’obstine à vouloir faire payer les frais de nettoyage de collages réalisés sur les murs de la ville ligérienne.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter