France

A l'UMP, Xavier Bertrand tente «d'imprimer sa marque»

Reconquête de l'électorat populaire, relance du débat, remise en ordre de marche des fédérations: un mois après son arrivée à la tête de l'UMP, le nouveau secrétaire général tente d'imprimer sa marque rue de la Boétie et de faire sa «révolution». Mais la «rupture» annoncée a lieu pour l'essentiel avec son prédécesseur, Patrick Devedjian, dont l'impopularité chez les militants avait atteint les sommets. Pour le reste, un seul mot d'ordre: fidélité au véritable chef, Nicolas Sarkozy.

Marine Turchi

«Il est temps d'engager la rupture pour faire de l'UMP le grand mouvement populaire que les Français attendent», s'enthousiasmait le nouveau secrétaire général de l’UMP, le 24 janvier, lors de son intronisation devant le conseil national du mouvement (voir son discours ici). A peine passée la phase de mise en selle de la nouvelle équipe de direction, Xavier Bertrand a retroussé ses manches pour engager ce qu'il appelle volontiers sa «révolution». Un mois après son arrivée rue de la Boétie, quelle est la stratégie du nouveau secrétaire général et quels chantiers a-t-il initiés?

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