Faire appel de sa condamnation n'est pas toujours une idée payante, même pour une éminence sarkozyste. Claude Guéant en a fait l'amère expérience. La XIIe chambre de la cour d'appel de Paris, présidée par David Peyron, vient de le déclarer coupable, lundi 23 janvier, de « complicité de détournement de fonds publics et recel » et d'alourdir sa peine dans l'affaire des primes en liquide du ministère de l'intérieur.
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