À Saint-Étienne, le maire, la sextape et le chantage politique Reportage

Procès de Saint-Étienne, jour 1 : « Ce n’est plus de la politique, ce sont les pages du Code pénal »

L’ancien élu à l’éducation et le communicant derrière l’enregistrement d’une sextape contre le premier adjoint de la mairie de Saint-Étienne ont tous les deux assumé leur participation au complot. Dans des registres diamétralement opposés.

Antton Rouget

Lyon (Rhône).– Présent en nombre pour entendre les explications des protagonistes du chantage à la mairie de Saint-Étienne, le public a d’abord dû évacuer de manière inattendue la salle du tribunal judiciaire de Lyon, lundi 22 septembre. Aux premières heures du procès du chantage à la mairie de Saint-Étienne, la présidente de la 17chambre correctionnelle, Brigitte Vernay, a en effet ordonné un huis clos pour permettre la diffusion d’une pièce centrale, et particulièrement sensible, du dossier : un extrait de la sextape filmée dans une chambre d’un hôtel parisien en janvier 2015.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter