Le Figaro a fait les calculs. Dans La France pour la vie, en librairie ce lundi, Nicolas Sarkozy confesse 27 erreurs. Une fois regrettés le yacht de Bolloré et le « Casse toi pôv’con », il restait de la place pour un mea culpa sur l’affaire Bygmalion et sa campagne présidentielle à plus de 40 millions d’euros (contre 22,5 autorisés). Mais rien de tel. Un an et demi après les aveux de Jérôme Lavrilleux (son ex-directeur de campagne adjoint), Nicolas Sarkozy n’esquisse toujours pas la moindre responsabilité personnelle dans la gestion de sa campagne viciée de 2012, la débauche de moyens mis à son service, l’emballement de meetings qu’il a voulu quotidiens, ou même le choix de son équipe rapprochée (aujourd’hui mise en examen dans les grandes largeurs, depuis l’expert-comptable jusqu’au directeur de campagne, Guillaume Lambert).
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