Accusation de viol à la CGT : Benjamin Amar réintégré après un classement sans suite
Le parquet de Paris a classé sans suite la plainte pour « viol », « torture » et « actes de barbarie », déposée par une femme à l’encontre du dirigeant de la CGT. L’organisation syndicale vient de le réintégrer, six mois après avoir suspendu son mandat.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
C’estC’est un communiqué très court qui annonce, sans le nommer, la réintégration immédiate de Benjamin Amar dans ses fonctions. La commission exécutive confédérale de la CGT, réunie mardi 24 août, explique avoir « pris connaissance de la décision de justice concernant un de ses dirigeants nationaux de ne pas donner suite à la plainte dont il faisait l’objet » et prend la décision « de lever la suspension de son mandat qui le frappait depuis le dépôt de plainte ».