En 2015, dans une loi portée par Jacqueline Gourault, alors sénatrice, le Parlement avait créé un droit individuel à la formation des élus locaux (DIFE). En plus des formations payées par les collectivités, chaque élu a alors eu droit à 20 heures de formation par an, pour la formation et l’organisme de son choix. Mal pensé, ce dispositif a été confié à la Caisse des dépôts et consignations, qui l’a récupéré en renâclant.
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