Plaidoiries au procès du 13-Novembre : « La justice n’est pas un mouvement de foule »
Maîtres Olivia Ronen et Martin Vettes ont plaidé pour Salah Abdeslam contre les réquisitions du parquet, qui avait réclamé à son encontre une peine de réclusion à perpétuité incompressible.
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Qu’il le veuille ou non, Salah Abdeslam est encore pour longtemps le dixième homme des commandos du 13-Novembre. C’est palpable, son nom fait encore frémir des parents, ou des survivants, présents à l’audience. Les plaidoiries en sa faveur aussi. Il incarne encore les tueurs. Ses amis qui ont mitraillé la foule des terrasses et du Bataclan. Son frère, Brahim, qui s’est fait exploser au comptoir Voltaire. Salah Abdeslam a été l’un d’eux. Il les représente quoi qu’il arrive dans les esprits. Même s’il a finalement renoncé à se faire exploser comme les autres.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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