Numérique

Internet : que faire de la fachosphère ?

Influenceurs et youtubeurs d’extrême droite se jouent des règles de modération des plateformes, qui sont souvent réticentes à censurer leurs contenus. La justice, elle, manque cruellement de moyens.

Jérôme Hourdeaux

En juillet 2020, YouTube se vantait d’avoir supprimé plus de 25 000 chaînes pour « incitation à la violence ou l’extrémisme violent ». La plateforme, propriété de Google, complétait avec cette annonce celle de la suppression des comptes de l’essayiste d’extrême droite Alain Soral, qui intervenait une semaine après celle des comptes de Dieudonné.

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