Dans l’Outre-mer, une écologie à géographie variable

Tous les territoires de l’Outre-mer français subissent de graves violences écologiques, souffrent de solutions énergétiques et infra-structurelles inadaptées. Scrutin après scrutin, le score des Verts y reste anecdotique. Troisième volet de notre série.

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Dix millions de kilomètres carrés de Zone économique exclusive maritime (ZEE) et les fonds marins correspondants, 20 % des atolls coralliens dans le monde, des biotopes parmi les plus riches de la planète, à l’image de la forêt amazonienne qui concentre en Guyane des milliers d’espèces végétales, des centaines d’espèces d’oiseaux et une variété indénombrable de mammifères et d’insectes : l'essentiel de la nature sous souveraineté française n’est pas en Europe. Elle est répartie sur trois océans et quatre continents, dans les départements et territoires d’Outre-mer. Cet Outre-Mer qui est à la fois une grande zone de biodiversité et de violences écologiques.

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