Alors que le réacteur nucléaire en construction ne doit pas démarrer au plus tôt avant la fin 2023, les premiers assemblages d’uranium enrichi commencent à arriver sur le site de la future centrale d’électricité selon Greenpeace, qui dénonce une stratégie du « fait accompli ».
C’est un convoi historique qui a pris le départ lundi matin, selon les observations de Greenpeace, présent sur place depuis l’aube : le premier camion de combustibles d’uranium à destination de l’EPR de Flamanville (Manche), le réacteur nucléaire de troisième génération en construction en Normandie, près de La Hague.