Au fil des mois et des interrogatoires, le légendaire bagout de l’intermédiaire sarkozyste Alexandre Djouhri semble s’émousser à l’épreuve des faits, au risque même, parfois, du ridicule. Interrogé au moins à trois reprises depuis son extradition de Grande-Bretagne en début d’année 2020, ce protagoniste clé de l’affaire des financements libyens s’est retrouvé confronté, le 9 octobre dernier, par les juges d’instruction Aude Buresi et Marc Sommerer, à une succession d’éléments matériels embarrassants, selon les informations de Mediapart.
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