Chantage de Saint-Étienne : les découvertes de l’enquête judiciaire (2/4) Enquête

« J’ai fait la connerie d’accepter la subvention » : l’argent derrière la sextape de Saint-Étienne

En audition, plusieurs fonctionnaires ont témoigné du circuit anormal emprunté par deux subventions municipales, d’un montant total de 40 000 euros, ayant pu servir à financer la sextape de Saint-Étienne. L’argent public a ensuite été redistribué à deux protagonistes de l’affaire.

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Le chantage à la mairie de Saint-Étienne est une affaire de pouvoir, mais aussi d’argent. Depuis le début de leurs investigations en août dernier, les enquêteurs de la police judiciaire de Lyon ont réuni plusieurs éléments accréditant l’idée que deux subventions municipales, d’un montant total de 40 000 euros, ont permis de rétribuer certains auteurs du piège tendu à l’égard du premier adjoint de la ville, Gilles Artigues. 

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