HabitatLien

Résister à l’exil : enquête sur les mal-logés parisiens

Malgré son image de « ville lumière », Paris compte encore des logements vétustes et insalubres. Majoritairement issus de l'immigration, ceux et celles qui y habitent connaissent des conditions de vie et d'emploi précaires. Une grande partie des classes populaires a déjà déserté la capitale, chassée par la hausse des prix de l'immobilier et la saturation du parc social. Mais les mal-logés parisiens auprès desquels Pascale Dietrich-Ragon, chercheuse à l'Ined, a enquêté pendant plusieurs années n'envisagent pas de quitter la ville. La plupart refusent un « exil » en banlieue, synonyme pour eux de déclassement social. Et continuent de vivre à Paris, au prix de l'insalubrité.

La rédaction de Mediapart

Malgré son image de « ville lumière », Paris compte encore des logements vétustes et insalubres. Majoritairement issus de l'immigration, ceux et celles qui y habitent connaissent des conditions de vie et d'emploi précaires. Une grande partie des classes populaires a déjà déserté la capitale, chassée par la hausse des prix de l'immobilier et la saturation du parc social. Mais les mal-logés parisiens auprès desquels Pascale Dietrich-Ragon, chercheuse à l'Ined, a enquêté pendant plusieurs années n'envisagent pas de quitter la ville. La plupart refusent un « exil » en banlieue, synonyme pour eux de déclassement social. Et continuent de vivre à Paris, au prix de l'insalubrité.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter