Une nouvelle brèche a été ouverte dans la défense de Georges Tron, ce vendredi devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis. Le maire (LR) de Draveil (Essonne) a toujours assuré avec force que les parties sexuelles dans la mairie qui sont décrites par les deux plaignantes n’avaient jamais existé et qu’il était victime d’une sombre machination. Or au quatrième jour du procès, un nouveau témoin, après celui de jeudi, est venu contredire les dépositions faites par Georges Tron pendant l'instruction.
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