Libertés publiques

Féminicides : le parquet ne poursuivra pas les colleuses d’affiches de Roanne

« Coller une affiche sur un support mural ne constitue pas une dégradation », estime le procureur de la République. La municipalité réclamait 1 070 euros, ou à défaut des poursuites pénales, contre trois militantes ayant effectué trois collages dénonçant les féminicides.

Jérôme Hourdeaux et Camille Polloni

Le ministère public a décidé de ne pas poursuivre les colleuses d’affiches féministes mises en cause par la municipalité de Roanne, estimant que leur activité ne constituait pas une infraction pénale.

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