Il y a quatre semaines déjà que Jérôme Cahuzac est passé aux aveux et qu’il a reconnu avoir touché en Suisse de l’argent des laboratoires pharmaceutiques. Mais depuis, pas un mot sur l’identité des entreprises de santé qui l’ont secrètement rémunéré au fil des années 1990. Encore moins sur les médicaments que le socialiste s’est chargé de promouvoir, aux dépens parfois de la Sécurité sociale.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous