«Je crois que le problème ne vient ni du renseignement territorial ni de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), mais de notre façon de gérer l’islam radical et politique », a assuré Gérald Darmanin, interrogé par Libération le 26 octobre. C’est bel et bien la ligne défendue par le ministre de l’intérieur depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), pour lutter contre un islam radical qui gangrènerait la société française, les écoles, les services publics et même les rayons des supermarchés.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous