Depuis plusieurs années, le Front national a interdit l’entrée de ses événements publics à Mediapart et à l’émission « Quotidien » (ex-« Petit Journal »). Dans ses villes, des journalistes sont régulièrement refoulés. Pendant cette campagne, le parti d’extrême droite a de nouveau décidé de choisir les médias autorisés à suivre Marine Le Pen : plusieurs titres de presse ont ainsi vu leurs journalistes tenus à l’écart de toute information et de toute possibilité de suivi sur le terrain de la candidate frontiste. Une entrave à la liberté d’informer que 34 rédactions ont dénoncée dans un communiqué commun, le 28 avril.
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