Non, le nucléaire n'est pas «profondément de gauche»

C'est l'effet retour de la catastrophe de Fukushima : après la remise en selle des anti-nucléaires, nous assistons maintenant au retour de ses partisans. Le problème, c'est que leurs arguments restent au niveau de grandes généralités, même adroitement formulées, et de principes. Or, cela ne suffit plus.

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C'est l'effet retour de la catastrophe de Fukushima : après la remise en selle des anti-nucléaires, nous assistons maintenant au retour de ses partisans. Ainsi, dans Libération de jeudi 28 juillet, David Spector, un économiste de l'Ecole d'économie de Paris, spécialiste de la concurrence, nous explique (à lire ici) que « l'énergie nucléaire est profondément de gauche » parce qu'« elle a créé des milliers d'emplois d'ouvriers qualifiés et bien payés ». Il écrit aussi qu'il faut construire de nouvelles centrales car ces technologies sont de plus en plus sûres, et que le nucléaire est la seule façon de lutter contre le changement climatique.

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