Crise à la Fédération française de tennis Enquête

Six mois avec sursis requis contre le président de la Fédération française de tennis

Devant le tribunal correctionnel de Bastia, le parquet a requis six mois de prison avec sursis contre Bernard Giudicelli, pour délit de favoritisme. Peut-il rester à la tête d'une fédération chargée de missions d’intérêt public ?

Laurent Mauduit

C’est un procès qui risque de faire des vagues considérables au sein de la Fédération française de tennis (FFT) : devant le tribunal correctionnel de Bastia, le parquet a requis ce mardi 30 janvier une peine de six mois de prison avec sursis et une amende de 5 000 euros à l'encontre de Bernard Giudicelli, le président de la FFT, et de son architecte, pour favoritisme dans la passation d'un marché public.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter