Crise de la Fédération française de tennis: notre dossier Enquête

Six mois avec sursis requis contre le président de la Fédération française de tennis

Devant le tribunal correctionnel de Bastia, le parquet a requis six mois de prison avec sursis contre Bernard Giudicelli, pour délit de favoritisme. Peut-il rester à la tête d'une fédération chargée de missions d’intérêt public ?

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

C’est un procès qui risque de faire des vagues considérables au sein de la Fédération française de tennis (FFT) : devant le tribunal correctionnel de Bastia, le parquet a requis ce mardi 30 janvier une peine de six mois de prison avec sursis et une amende de 5 000 euros à l'encontre de Bernard Giudicelli, le président de la FFT, et de son architecte, pour favoritisme dans la passation d'un marché public.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA