Jusqu’à ce dimanche soir, le parti socialiste tient neuf des dix plus grandes villes de l’Ouest (Bretagne et Pays de la Loire). Lundi matin, la liste risque fort d'être réduite : Angers, Quimper, Caen sont menacées. De même que beaucoup de villes petites et moyennes. Pour les barons socialistes du Grand Ouest de la France, hérauts d’un socialisme modéré qui a supplanté la démocratie-chrétienne dans ces terres historiquement conservatrices, le vote du 23 mars est un coup de semonce.
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