La deuxième journée des universités d’été du PS a donné lieu à l’expression des multiples désaccords avec le « tournant libéral » du pouvoir. Mais les rébellions restent sporadiques, et pour l'instant désordonnées, des « frondeurs » à Christiane Taubira, en passant par les anciens ministres débarqués et les autres partis de gauche.
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LaLa Rochelle, de nos envoyés spéciaux. Pour l’heure, ce sont des résistances désordonnées. Mais elles n’ont cessé de s’exprimer, à l’extérieur comme à l’intérieur de l’espace Encan, lieu de l’université d’été du PS à La Rochelle. Ce samedi, l’endroit a été transformé en bunker de bord de mer, avec barrages filtrants de CRS et policiers armés postés sur le toit de l’aquarium voisin, afin de tenir éloignés la cinquantaine de manifestants de la CGT disant “non à l’austérité” et quelques drapeaux palestiniens. De l’autre côté, la passerelle permettant de franchir le canal a été relevée. Sur l’autre rive, se trouvait l’amphi de la faculté où avaient rendez-vous les députés « frondeurs ».