Il lui aura fallu près de quatre ans. L’intermédiaire Alexandre Djouhri a finalement pris place, vendredi 31 janvier, devant les juges du pôle financier parisien, face à ses ennemis jurés, les « fatigués de la timbale », les « mafiosi », qu’il a insultés à longueur d’échanges téléphoniques. « On me met au milieu d’un théâtre double rideau, je ne connais pas la pièce, je ne connais pas les paroles, je ne sais même pas de quoi tu me parles », avait prétendu l’intermédiaire à son ami l’ancien député Les Républicains Alain Marsaud, en mai 2016.
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