C’est une sorte de malédiction qui se prolonge d’une présidence à l’autre : l’audiovisuel public, qui aurait un si grand besoin d’indépendance pour travailler à l’abri de toute pression, vit plus que jamais sous la surveillance étroite de l’Élysée. Et ce qui était vrai sous Nicolas Sarkozy, puis sous François Hollande, l’est plus que jamais avec Emmanuel Macron. C’est la triste règle d'une République aux allures, parfois, de monarchie.
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