Salah Abdeslam : « J’ai renoncé à enclencher ma ceinture »

Après avoir fait valoir son droit au silence durant une partie de l’après-midi, Salah Abdeslam a finalement répondu à une avocate des parties civiles. Le 13 novembre 2015, il n’a pas enclenché son gilet explosif, « ni par lâcheté ni par peur », mais parce qu’il « ne voulait pas ».

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Le silence, c’est pas trop le truc de Salah Adbeslam. Dans la salle d’audience de la cour d’assises spéciale, on a fini par le comprendre. S’il a parfois refusé de comparaître, le « dixième homme » des commandos de Paris est plutôt bavard que taiseux. Le genre persifleur à qui l’on coupe le micro. Mais mercredi 30 mars, voilà qu’il annonce :

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