Eh non ! Vous aurez beau chercher, la célèbre formule qu’on retrouve à longueur d’articles, de discours, de mèmes et parfois de tweets ne figure en réalité nulle part, dans aucun des textes, des ouvrages, des pièces ou des quelque 15 000 lettres écrites et/ou publiées par François-Marie Arouet, dit Voltaire, au cours de sa longue carrière littéraire. Vous trouverez pourtant bien ici ou là une référence à une source précise, en l’occurrence une missive du philosophe adressée le 6 février 1770 à l’abbé Le Riche et où figurerait la phrase : « Monsieur l’abbé, je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire. »
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