Le « dixième homme » des commandos de Paris a avoué, mercredi, qu’on lui avait confié la mission de « se faire exploser » dans un café du XVIIIe arrondissement. « J’ai renoncé par humanité, pas par peur », a-t-il déclaré.
Devant la cour d’assises, la femme qui, au péril de sa vie, a amené les policiers à Abdelhamid Abaaoud, et l’un des commissaires ayant conduit l’enquête ont raconté les cinq jours qui ont évité un nouvel attentat au lendemain du 13-Novembre.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats du 13-Novembre décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, le père de Lola, assassinée au Bataclan, revient sur un moment d’audience rare entre une avocate de partie civile et Salah Abdeslam.
Durant 22 minutes, la cour d’assises spécialement composée s’est transportée vendredi, d’abord par le son, ensuite par l’image, au Bataclan. Avec les commentaires du président Périès rendant compte de l’ampleur de la tragédie. Récit d’une audience en apnée.
Après avoir fait valoir son droit au silence durant une partie de l’après-midi, Salah Abdeslam a finalement répondu à une avocate des parties civiles. Le 13 novembre 2015, il n’a pas enclenché son gilet explosif, « ni par lâcheté ni par peur », mais parce qu’il « ne voulait pas ».
Jamais un accusé n’avait été aussi loin dans ses déclarations. Mais parce qu’il l’avait annoncé et surtout parce qu’il est contraint dans des conflits de loyauté avec les autres hommes dans le box, les aveux de Mohamed Abrini au procès des attentats du 13-Novembre n’ont pas eu la portée espérée.
Pendant toute la durée du procès des attentats du 13-Novembre, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Christophe Naudin, un rescapé du Bataclan, explique pourquoi désormais il souhaite être confronté aux images de l’attentat.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats du 13-Novembre écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Georges Salines, partie civile, analyse les sentiments qui s’entremêlent alors qu’a débuté l’examen des charges pesant sur les accusés.
Empêtré dans ses contradictions, entre la volonté d’assurer sa réputation et une volonté d’atténuer la perpétuité qu’on lui promet, l’unique survivant du commando du 13-Novembre a livré sa version de son embrigadement djihadiste.
Au procès des attentats du 13-Novembre, le premier des accusés à avoir été interrogé sur les faits n’a rien condamné, ni regretté. Celui qui, sans ses activités terroristes, serait un monsieur Tout-le-Monde s’est aussi embourbé dans ses contradictions.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Georges Salines, partie civile et médecin épidémiologiste, analyse les ressorts de la suspension d’audience pour cause de Covid de Salah Abdeslam.
Après un long débat entre respect d’un planning à tenir et sécurité sanitaire à garantir, l’audience a été suspendue pour permettre de déterminer si l’accusé Salah Abdeslam, positif au Covid-19, était contagieux et en état d’assister à son procès.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Christophe Naudin, un rescapé du Bataclan, détaille l’importance des propos des familles des terroristes.
« À l’air libre » reçoit ce soir deux avocates qui défendent des accusés dans le procès des attentats du 13-Novembre, Marie Violleau et Menya Arab-Tigrine.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats écrivent et décrivent leurs sentiments. Aujourd’hui, Georges Salines, père de Lola, une victime du Bataclan, raconte comment il a vécu le témoignage du père d’un des terroristes qui a fait feu dans la salle de concert.
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens (2/5)
Actuel numéro 2 de la police judiciaire, Philippe Chadrys, alors patron de la Sous-Direction antiterroriste (SDAT), a piloté l’enquête sur les attentats du 13-Novembre. Il lève le voile sur les dessous de la plus grande enquête jamais menée en France.