Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Georges Salines, père de Lola, une victime du Bataclan, raconte pourquoi il a raté le début du procès et pourquoi désormais il le suit tous les jours ou presque.
Rongé par la culpabilité alors qu’il a sauvé des dizaines de vie, un commissaire de la BAC-N et l’ex-patron de la BRI, excédé par les polémiques qui ont visé son unité, ont témoigné sous le regard des victimes du Bataclan venues leur apporter leur soutien.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Emmanuel Domenach, présent au Bataclan le 13 novembre 2015, réagit ici à un article du journal « Le Monde » consacré à la place des parties civiles dans le procès.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Nadine Ribet Reinhart, mère d’une victime du Bataclan, confie l’émotion qui l’envahit au moment d’assister pour la première fois au procès.
La Cour d’assises spéciale a visionné des images de l’attaque, le 13 novembre 2015, du café La Belle Équipe, rue de Charonne, puis la vidéosurveillance montrant l’entrée et l’explosion de la ceinture du kamikaze Brahim Abdeslam au Comptoir Voltaire.
À partir du témoignage d’un commandant de la brigade criminelle et de la retranscription d’une sonorisation, le procès des attentats du 13-Novembre a permis de reconstituer la tuerie du Bataclan qui a fait 90 morts, 202 blessés physiques et des centaines de traumatisés.
Trois chefs de groupe de la Brigade criminelle ont détaillé leurs constatations sur les scènes de crime du 13-Novembre. Des vidéos de l’attaque du café À la Bonne Bière ont été visionnées.
La justification par Salah Abdeslam des attentats du 13-Novembre du fait des bombardements effectués par la France en Syrie est une constante de la propagande victimaire djihadiste. Elle ne résiste pas à l’examen des faits.
Devant la cour d’assises, mercredi, Salah Abdeslam, seul membre survivant des commandos du 13 novembre 2015, a présenté les attentats comme une riposte aux bombardements français contre l’État islamique.
En début de semaine, un commissaire français et une juge belge ont livré une plongée inédite dans les méandres de l’enquête internationale qui conduit quatorze hommes à répondre aujourd’hui de leur rôle dans les attentats du 13-Novembre.
Alors que l’accusé Salah Abdeslam multiplie les provocations depuis le début du procès, le président de la cour d’assises, Jean-Louis Périès, tantôt avec fermeté, tantôt avec humour, cantonne ses débordements. Une police de l’audience qui tranche avec celle du procès des attentats de janvier 2015.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Aurélia Gilbert, une rescapé du Bataclan, s’interroge sur l’utilité de se porter partie civile.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Emmanuel Domenach, un rescapé du Bataclan, s’interroge sur l’utilité de se porter partie civile.
Pendant toute la durée du procès, sept victimes des attentats vont écrire et décrire leurs sentiments. Aujourd’hui, Christophe Naudin, un rescapé du Bataclan, détaille la place déjà trop importante qu’occupe le procès dans sa vie.
Rédigée il y a trois semaines, une note de l’administration pénitentiaire, que révèle Mediapart, souligne la radicalité et le prosélytisme auxquels s’adonne Salah Abdeslam en détention. Ses avocats dénoncent « une bouillie » d’informations « récoltées par des procédés dont on peut interroger la légalité ».
Dès les premières minutes du procès, Salah Abdeslam a revendiqué son appartenance à l’organisation terroriste ayant planifié les attentats du 13-Novembre. Contrairement aux autres accusés qui ont fait profil bas, l’unique survivant du commando ayant tué 131 personnes a fait dans la surenchère.
Directeur de la publication : Edwy Plenel
Direction éditoriale : Stéphane Alliès et Carine Fouteau
Le journal MEDIAPART est édité par la Société Editrice de Mediapart (SAS).
Durée de la société : quatre-vingt-dix-neuf ans à compter du 24 octobre 2007.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.