En Argentine, le péril Milei Reportage

L’Argentine manifeste pour sauver ses universités

À l’issue d’une journée de protestations dans tout le pays, en défense des salaires des professeurs, mercredi, le président Javier Milei a posé son veto à une loi indexant le budget des établissements publics d’enseignement supérieur, jusque-là en chute libre, sur l’inflation. 

Louise André-Williams

Buenos Aires (Argentine).– Assise en tailleur dans le hall de la faculté de médecine de Buenos Aires, au milieu de pancartes à l’encre encore fraîche – « Vive l’UBA », l’université de Buenos Aires ; « La science n’est pas à vendre ! » ; « Éducation = Liberté », entre autres –, Karina Vazquez, 25 ans, admire son œuvre : « Vive l’université publique, bordel ! » Simple et efficace.

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