Il y a dix ans, il dirigeait le FLN (Front de libération nationale), puis s’était lancé dans la campagne pour la présidence de la République algérienne de 2004 contre l’homme qui l’avait nommé premier ministre, l’actuel président Abdelaziz Bouteflika. Crédité de 6,42 % des voix, il dénonçait alors la « fraude » comme responsable de son échec, avant de se retirer des affaires publiques.
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