États-Unis : une présidentielle aux allures de guerre civile Parti pris

L’envahissement du Capitole, fin logique d’une présidence de violences et de haine

Depuis des années, Trump annonce la « guerre civile » et a fait de la violence son arme politique. En envahissant le Capitole, ses partisans les plus fanatiques ont mené son projet à bien. Après quatre ans de lâcheté totale, le parti républicain condamne.

Mathieu Magnaudeix

Il a dit sur tous les tons que l’élection présidentielle a été « volée », « truquée ». Que des bulletins de vote ont été « détruits ». Que les machines à voter ont été trafiquées. Que des centaines, peut-être des millions, de voix se baladent non comptées dans la nature. Sans le début d’une preuve, comme l’ont fait remarquer nombre de juges saisis par ses avocats.

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