Depuis des années, Trump annonce la « guerre civile » et a fait de la violence son arme politique. En envahissant le Capitole, ses partisans les plus fanatiques ont mené son projet à bien. Après quatre ans de lâcheté totale, le parti républicain condamne.
Il a dit sur tous les tons que l’élection présidentielle a été « volée », « truquée ». Que des bulletins de vote ont été « détruits ». Que les machines à voter ont été trafiquées. Que des centaines, peut-être des millions, de voix se baladent non comptées dans la nature. Sans le début d’une preuve, comme l’ont fait remarquer nombre de juges saisis par ses avocats.