Facebook, emblème du «capitalisme de surveillance»
Le détournement de 87 millions de profils Facebook par Cambridge Analytica afin d’influer sur la campagne présidentielle américaine a plongé la société de Mark Zuckerberg dans une crise sans précédent en la mettant face à un dilemme en apparence insoluble : comment rassurer investisseurs et utilisateurs alors que son modèle économique repose par définition sur la collecte massive des données personnelles ?
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
UnUn vent de panique souffle sur Facebook. Deux semaines après la révélation du vol de 87 millions de profils d’utilisateurs par la société Cambridge Analytica, la firme californienne ne semble plus savoir quoi faire pour calmer la tempête et multiplie, en vain, les annonces destinées à rassurer les utilisateurs et les marchés financiers.