Le régime syrien continue sa terrible offensive contre les fiefs de la contestation mais la résistance, pacifique comme militaire, se poursuit. L'Armée syrienne libre est de plus en plus structurée, et ses opérations de plus en plus ciblées.
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Homs, Rastan, Idlib, Douma dans la banlieue de Damas, la région d’Alep… Le régime syrien poursuit sa terrible offensive contre les fiefs de la contestation, pratiquant une politique de la terre brûlée. Les bilans quotidiens des victimes approchent désormais la barre des 100 et ce samedi 7 avril, Homs, bombardée sans répit, était comparée par les militants à Bagdad. Selon un officier dissident joint par Skype ce même jour, les avions Migs sont également entrés en action. La violence de l’offensive pousse les populations civiles à l’exil : près de 700 Syriens sont arrivés en Turquie au cours des dernières vingt-quatre heures.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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