Ce qui n’était auparavant qu’un murmure de courtisans est désormais une propagande d’État. Tendues entre les arbres, des affiches enjambent les rues de Kaloum, le centre-ville de la capitale Conakry, vantant l’adhésion des Guinéens à un obscur projet de « nouvelle Constitution » surgi du néant.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous