La frappe des missiles de croisières américains contre une base aérienne syrienne, vendredi matin, a permis à Donald Trump de prendre, pour la première fois, la pose du commandant en chef et de lancer une opération de communication planétaire. Mais sur le plan opérationnel, elle n’a servi à rien. C’est ce qu’ont démontré les deux avions de combat syriens qui ont décollé, quelques heures après l’attaque, de la piste intacte pour un raid de bombardement sur des cibles de la région.
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