Alors que le procès pour crimes contre l’humanité du vice-président du Kenya William Ruto s'est ouvert à La Haye, mardi 10 septembre, et que celui du président kényan Uhuru Kenyatta se déroulera dans deux mois, dans le cas syrien, la Cour pénale internationale (CPI) n’a pu ouvrir la moindre enquête.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous