Amériques

Argentine : pourquoi Javier Milei tient bon

Un an après l’investiture du président à Buenos Aires, le scénario d’une destitution rapide s’est éloigné. Le libertarien profite des hésitations et fragmentations de l’opposition. Son avenir politique à court terme reste lié à sa capacité de freiner l’inflation.

Ludovic Lamant

Mardi 3 décembre, Javier Milei a bousculé son agenda pour assister au concert d’une vedette du rock argentin, Andrés Calamaro. Le musicien, qui avait soutenu le candidat libertarien en campagne, lui a lancé depuis la scène un « mille mercis », sous les applaudissements du public de la Movistar Arena (15 000 places), en plein cœur de Buenos Aires.

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