Lorsqu’il est nommé secrétaire d’État à l’intégration, à l’âge de 24 ans, c’est un parfait inconnu. On est alors en 2011. Sebastian Kurz, issu de l’organisation de jeunesse du Parti populaire autrichien (ÖVP), rejoint le ministère de l’intérieur avec un petit portefeuille, sans gros budget ni marge de manœuvre. Il tente alors de développer les cours de langue à destination des immigrés, favorise l’équivalence de diplômes obtenus à l’étranger, vante quelques trajectoires exemplaires de personnes arrivées sur le sol autrichien…
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