Transparence et probité Enquête

Un porte-parole de Marine Le Pen en 2022 était lui aussi payé par le Parlement européen

Le parti d’extrême droite a été condamné pour son « système » d’assistants fictifs mis en place jusqu’en 2016. Mais selon les informations de Mediapart, Andréa Kotarac a été illicitement le porte-parole de la candidate du RN lors de la dernière campagne présidentielle.

Cédric Vallet

Bruxelles (Belgique).– Le « système » d’emplois fictifs d’assistant·es parlementaires mis en place par le Rassemblement national (RN) de 2004 à 2016, qui a valu à Marine Le Pen et à vingt-quatre coprévenu·es d’être condamné·es par le tribunal correctionnel de Paris, s’est-il arrêté après 2016 ? Des informations, collectées par Mediapart auprès de multiples sources, montrent que de 2019 à 2022, des règles cruciales du Parlement européen ont été ignorées par Andréa Kotarac.

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