Amériques

En Haïti, « une guerre qui ne dit pas son nom »

Au premier semestre de l’année, les gangs ont tué plus de 2 000 personnes dans l’île des Caraïbes. Deux ans après l’assassinat du président Jovenel Moïse, la situation a empiré. Le Conseil de sécurité pourrait donner son feu vert dans les prochains jours à l’envoi d’une force internationale composée de policiers sous l’égide du Kenya.

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En Haïti – État failli ravagé depuis trop longtemps par des crises sécuritaires, humanitaires, environnementales et politiques –, les enlèvements sont devenus une des principales sources de revenus des gangs qui contrôlent désormais une grande partie du pays. Ces groupes criminels, liés souvent aux élites politiques, martyrisent la population, tuent, violent, pillent et rackettent. En toute impunité en raison de l’impuissance de la police et de la justice. Ou de leur duplicité.

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Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

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