Quatre ans et demi après la tenue du référendum, qui croit encore aux ultimatums sur le Brexit ? Même Michel Barnier, le très prudent coordinateur de la négociation pour le camp européen, avait ironisé mardi, au sujet de la date du 15 octobre : « C’est la troisième date butoir que Boris Johnson a imposée de manière unilatérale. » En résumé : « Il nous reste du temps » pour négocier, voulait croire l’ancien ministre conservateur.
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