La Cour suprême de Delhi a annulé la quasi-totalité des concessions de mines de l’Inde. Le gouvernement Modi a six mois pour trouver une solution et éviter que les centrales électriques ne soient mises à l’arrêt.
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De notre correspondant en Inde.- La menace d’une panne de courant géante plane à nouveau dangereusement sur l’Inde. Ici, personne n’a oublié l’incroyable coupure qui avait plongé tout le nord du pays dans le noir en juillet 2012. Ce fut la plus importante de l’Histoire, avec 670 millions de personnes touchées, soit une bonne moitié de la population du sous-continent. Or, voilà que ces dernières semaines, plusieurs incidents graves ont réveillé les peurs. Samedi 1er novembre, une défaillance de la ligne à très haute tension alimentant le Bangladesh depuis le Bengale occidental, près de Calcutta, a transformé en ville fantôme la capitale du pays voisin, Dacca. L’aéroport international, les usines et les hôpitaux ont dû recourir durant plusieurs heures à des groupes électrogènes, tout comme la résidence de la première ministre, Sheikh Hasina.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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