Six semaines avant de devoir abandonner, à contrecœur, le Bureau ovale de la Maison Blanche à Joe Biden, Donald Trump multiplie les grandes et les petites manœuvres diplomatiques, au Moyen-Orient et dans le monde arabo-musulman. Avec, semble-t-il, les mêmes objectifs depuis des mois : imposer son rôle d’ami et de protecteur d’Israël, en particulier au sein de son électorat évangéliste, confirmer sa réputation de négociateur forgée, affirme-t-il, au fil de sa carrière de promoteur immobilier. Et, éventuellement, compliquer l’entrée en fonction de son successeur.
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